La Conduite Accompagnée : que des avantages !
Plus on apprend de manière sûre prudente et responsable dès le jeune âge plus les bons comportements sont ancrés.
La conduite accompagnée peut se pratiquer dès l’âge de 15 ans et sans limite d’âge pour les plus âgés. C’est un apprentissage anticipé de la conduite qui permet aux élèves d’obtenir de meilleurs taux de réussite à l’examen pratique du permis de conduite et de diminuer leurs changes d’avoir des accidents.
La pratique apporte plus d’expériences variées et enrichissantes
Au moins 1 an d’expérience, au moins 3000 kilomètres.
L’accidentologie en baisse moins 27% la première année pour les 18/19 ans et moins 25% la deuxième année pour les 20/21 ans (préfecture de la Drôme).
Le taux de réussite est supérieur à l’apprentissage de la conduite traditionnelle
En conduite accompagnée 74 %, en formation traditionnelle 55 %.
La durée de la période probatoire est moindre
En conduite accompagnée 2 ans, en formation traditionnelle 3 ans.
Le gain de point est plus rapide (sans infraction)
En conduite accompagnée plus 3 points par an sur 2 ans, en formation traditionnelle plus 2 points par an sur 3 ans. Dans ces conditions respectées, le disque A n’est plus utile au bout de 2 ans.
les gains financiers sur la formation et sur l’assurance sont non négligeables.
Pour les assurances, la surprime jeune conducteur est de moins 50% la première année et moins 25% la deuxième année et la troisième année celle-ci disparaît.
Selon le rapport GILBERT remis en 2014 au Ministère de l’Intérieur, moins 500 euros en moyenne sur la formation.
La MAÏF n’applique aucune surprime aux jeunes conducteurs en formation CA de ses assurés.
A réfléchir ! L’enjeu ‘jeune’ en sécurité routière
Les jeunes de 15 à 24 ans représentante presque 25% des tués et plus de 33% des blessées graves alors que ce groupe ne correspond qu’à 15% de la population…
Les jeunes sont un enjeu pour la sécurité routière (Source : http://formation.education-securite-routière.fr/)
La conduite accompagnée s’inscrit sans un cursus de mesures pour l’éducation à la sécurité routière en continuité avec les programmes scolaires primaires, secondaires et universitaires.
L’adhésion de tous les partenaires est demandée par le ministère dans le but de lutter contre l’insécurité routière et protéger les jeunes conducteurs.
